Quelques
rétentions type
« cristaux » pour assurer
une bonne liaison de la résine sur le
métal.
Après la mise en revêtement, le cylindre est
coulé.
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Le
tracé des
crochets étant défini, il doit être
matérialisé par une délimitation
quelconque
à sa base. La mise de dépouille est, dans ce
cas-là, réduite puisqu’elle a
déjà
été réalisée en partie par
les fraisages.
Pour la duplication j’utilise un hydrocolloïde
réversible,
après avoir testé les silicones de duplication
qui ne
m’ont pas convaincu. Ces derniers sont d’une
précision
redoutable, pas pour moi mais pour le patient qui insère
tous
les jours sa prothèse sans l’aide de son praticien
préféré...
Pour obtenir une bonne rigidité du châssis sans
pour
autant nuire à sa finesse, je place un fil de renfort (diam
6/10°) que j’écrase à la flamme
d’un micro-chalumeau.